J’ai interviewé Margaux qui est neuropsychologue
25 mars 2019
C’est au tour de Margaux, neuropsychologue, de se confier sur son travail, ses spécificités et sa compréhension du métier de
C’est au tour de Margaux, neuropsychologue, de se confier sur son travail, ses spécificités et sa compréhension du métier de
Un nouvel article qui n’est pas de ma plume, sur l’anamnese ou l’histoire du patient par Noémie.
Il y a un an, j’ai été invité à une formation au mindmapping avec mon fils. Vous connaissez ?
Peut être connaissez vous Clara et ses vidéos explicatives ? Aussi présente sur Facebook, elle partage son savoir avec ses
Que l’on soit parent ou accompagnateur d’un enfant, ou bien soit même patient … il en faut de la patience
Chaque mois, j’aimerai vous faire découvrir la psychomotricité en dehors de la France. Aujourd’hui, c’est Michelle qui répond et nous
Quel drôle de nom. Mais pendant la première année de psychomotricité, j’étais une étudiante de type « candidate libre »,
C’est au tour d’Emmanuelle de répondre aux questions de l’interview, une occasion pour mieux la découvrir.
J’avais hâte d’enrichir les interviews par des intervenants ayant travaillé auprès de psychomotricien(ne)s afin de connaître leur vision du métier.
Il y a quelques semaines, un challenge hebdomadaire entre psychomot à vu le jour sur instagram. De quoi s’agit il
C’est au tour de Margaux, neuropsychologue, de se confier sur son travail, ses spécificités et sa compréhension du métier de
Un nouvel article qui n’est pas de ma plume, sur l’anamnese ou l’histoire du patient par Noémie.
Il y a un an, j’ai été invité à une formation au mindmapping avec mon fils. Vous connaissez ?
Peut être connaissez vous Clara et ses vidéos explicatives ? Aussi présente sur Facebook, elle partage son savoir avec ses
Que l’on soit parent ou accompagnateur d’un enfant, ou bien soit même patient … il en faut de la patience
Chaque mois, j’aimerai vous faire découvrir la psychomotricité en dehors de la France. Aujourd’hui, c’est Michelle qui répond et nous
Quel drôle de nom. Mais pendant la première année de psychomotricité, j’étais une étudiante de type « candidate libre »,
C’est au tour d’Emmanuelle de répondre aux questions de l’interview, une occasion pour mieux la découvrir.
J’avais hâte d’enrichir les interviews par des intervenants ayant travaillé auprès de psychomotricien(ne)s afin de connaître leur vision du métier.
Il y a quelques semaines, un challenge hebdomadaire entre psychomot à vu le jour sur instagram. De quoi s’agit il
